Pendant la Grande Guerre, premier conflit de l’ère industrielle, la demande en poudre à canon est immense. La poudrerie de Pont-de-Buis dans le Finistère, en lien notamment avec l’arsenal de Brest et les usines d’armement de Rennes, embauche à tour de bras. La main d’oeuvre est largement féminine, en l’absence des hommes mobilisés, et compte aussi des Nord-Africains et autres « coloniaux », ce qui pose des questions nouvelles et inédites…
Un projet collaboratif a été mené pendant quatre années par des passionnés et bénévoles de Pont-de-Buis lès Quimerc’h, dont certains anciens salariés de la poudrerie. Il a reçu le label national de la Mission centenaire 1914-1918.